Une sonnerie stridente, un brouhaha infernal dans les couloirs au moment de la récrée, une cantine bondée ou encore une salle de classe agitée lors des travaux de groupe. Il ne faut certainement pas creuser très loin dans nos mémoires pour retrouver de bruyants souvenirs d’école.
De la maternelle à l'université les sources de bruit dans les lieux d’enseignement sont multiples. Pour le bien-être des élèves, des enseignants comme des personnels, garantir un environnement sonore de qualité dans ces espaces paraît primordial.
Les conséquences néfastes du bruit
En 2014, une étude du CIDB relevait que 74% des enfants sont gênés par les bruits à l’école, majoritairement par les camarades en classe[1].
Télétravail, travail en espaces-partagés, travail en commerce, en espaces-verts, dans les garages, en « nomade »… Quel est le dénominateur commun? Pouvoir suivre le flotdes échanges sans fatiguer. Les oreilles sont au cœur de ces défis.Dans l’équation, le bruit représente un grain de sable qui opère dans tous les secteurs d’activité ; bafouant les besoins physiologiques de l’oreille. Sans le vouloir, sans le savoir, le bruit est source de destruction de valeur ajoutée liée au capital humain. Il est urgent de sortir de l’ignorance afin de rendre pleinement opérant les programmes de santé et de qualité de vie au travail. Il s’agit peut-être d’une clé pour opérer des choix d’implantation des espaces de travail ou de modes de travail
65% des moins de 17 ans écoutent la musique avec les écouteurs fournis par les fabricants de smartphones ; 50% d’entre-eux avec une durée 1 à 2 heures par jour et 20% entre 2 à 3 heures. Près d’un jeune sur 2 s’endort même avec. L’écoute se fait plutôt à volume élevé pour un tiers des 15- 17ans et 36% des 18-24 ans, 43% des 25-34 ans. Lors du confinement, le smartphone a pu renforcer l’effet palliatif à l’ennui et les vacances arrivent. Un phénomène qui concerne de plus en plus les enfants… Alors quelles sont les bonnes pratiques pour leurs oreilles ?
Ecouteurs, casques ou enceintes bluetooth ?
Le choix du casque doit se réaliser en fonction de ses habitudes d’écoute et chaque matériel présentera des avantages et inconvénients. Les
Pendant le confinement, un grand nombre de seniors a délaissé les aides auditives. Faute de piles, de nettoyage, de réglage ou par peur de se rendre chez les audioprothésistes qui ont maintenu un suivi, les aides auditives sont retournées dans le tiroir. Mais cela n’est pas sans conséquences sur la santé. Les aides auditives font partie des soins médicaux de prévention et de lutte contre le déficit prématuré des fonctions cognitives.Les experts scientifiques et médicaux de l’association JNA, association neutre et indépendante, invitent à ne pas renoncer au port des aides auditives.
A ce jour, le port des aides auditives est la réponse médicale à la compensation de la perte auditive.
L’épigénétique nous apprend à retarder les déclenchements de modification de l’état de santé, dus aux prédispositions génétiques. En effet, en modifiant le rapport à notre environnement, nous pouvons repousser l’apparition de ces maladies inscrites à notre patrimoine génétique. Il en va ainsi de la perte auditive liée à l’avancée en âge, phénomène appelé presbyacousie.
La presbyacousie, un phénomène naturel lié au facteur génétique
La perte auditive liée à l’avancée en âge commence à poindre son nez vers 55 – 60 ans. Elle concerne aujourd’hui 40% des 60-70 ans et plus de 50% des plus de 80 ans. En effet, les cellules sensorielles de l’oreille s’usent peu à peu depuis l’âge de 20 ans et une partie d’entre-elles disparaissent. Les
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